Peu après la prise de pouvoir du capitaine Traoré le 30 septembre 2022, les activités de toutes les organisations de la société civile et des partis politiques ont été suspendues dans le pays ainsi que de nombreux organes de presse.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, a dénoncé les atteintes à la liberté d’expression au Burkina Faso.
RFI ET FRANCE 24
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Selon l’organe onusien, les autorités burkinabés veulent restreindre le travail des médias, un certain nombre de mesures ont été prises pour suspendre la transmission de Radio France International ou encore les émissions de France24. Deux journalistes des quotidiens Le Monde et Libération ont été expulsés du Burkina Faso, après avoir été interrogés par les services de renseignement.
