De nombreuses études ont prouvé que la diminution fréquente d'éjaculation hebdomadaire pouvait réduire les risques de cancer de la prostate. Cette nouvelle recherche vient contredire ces affirmations.
Une étude chinoise, publiée dans le Journal of Sexual Medecine a révélé un lien entre le nombre élevé d’éjaculations par semaine et le risque de développer un cancer de la prostate.
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Pour arriver à la, conclusion, les recherches se sont basées sur 22 études avec la participation de 55.490 personnes. Les chercheurs ont donc observé que pour réduire les risques de cancer de la prostate, la fréquence d’éjaculation devrait se situer entre 2 et 4 éjaculations par semaine. L’hyperactivité sexuelle n’est donc plus protectrice. Plus les partenaires sexuelles sont nombreuses, plus les hommes se trouvent exposés au risque de cancer de la prostate !
Selon les chercheurs, avoir plus de 10 partenaires féminines multiplierait par 1,10 le risque de contracter le cancer de la prostate. Alors que reculer l’âge du premier rapport sexuel à un âge avancé diminue le risque de 4% tous les cinq ans.
Pour les chercheurs, les résultats peuvent s’expliquer par une plus grande exposition aux infections sexuellement transmissibles (IST). Ces nouveaux facteurs ne sont donc pas à prendre à la légère quand on sait que le cancer de la prostate touche environ 50.000 hommes en France chaque année.
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