« Je ne crois pas en la réussite d’un projet financé pour des jeunes qui n’ont jamais travaillé ni entrepris », déclare-t-il, rapporté par L’Observateur. Il rembobine : « il y a des experts en conception de projets qui font porter des projets fictifs par des jeunes bénéficiaires fictifs (…) Finalement, l’on se rend compte qu’il y a un grand fossé entre la conception et la faisabilité des projets », se désole le maire de Guédiawaye. A son avis, il faut des études économiques sérieuses, avant de procéder à des financements, faute de quoi on assiste souvent à des chevauchements qui font qu’on peut se retrouver avec 10 projets de même nature dans un seul quartier », martèle le président de l’AMS.