Selon Dr Bambo Diakhaby, biologiste et enseignant-chercheur à l’UFR 2 S de ladite université, les étudiants « positifs » à la maladie seront référés à un gastro-entérologue pour un traitement, tandis que ceux dont le dépistage sera « négatif » seront vaccinés, s’ils ne le sont pas encore.
Le biologiste explique cette situation par le fait que « dans les campus sociaux de l’UGB, les étudiants partagent trois, voire à quatre les chambres. Ce qui favorise la propagation de la maladie qui est très présente dans notre société ». Il a ajouté que « la promiscuité est un facteur favorisant de l’hépatite B, une maladie à infection virale du foie ».